dimanche 13 mars 2016

Visite médicale à l'armée







je ne sais pas si vous avez fait votre armée...  si vous avez passé une visite médicale à poils à l'armée.
Parfois je regrette de n'avoir ni fait l'armée ni passé une visite méd' à poils à l'armée.
Faites moi rêver ;))))

40 commentaires:

  1. A mon arrivée à la caserne, visite médicale bien sur : le docteur (un appelé) me fait mettre à poils, me palpe les couilles et m'examine l'anus ! J'étais trop stressé par mon incorporation pour bander mais à chaque fois que je suis venu consulter, il me faisait me déshabiller entièrement même pour un rhume !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. OK Gérald, mais OK à moitié seulement... En effet, la visite d'incorporation ne nécessitait pas de regarder l'anus. Donc, soit vous êtes tous tombés sur un toubib un peu beaucoup pervers, soit tu fantasmes carrément. Par contre, la palpation des bourses (plutôt soupesées, en fait) était suivie d'un décalottage (pas pour fantasmer en matant le gland, mais tout bêtement pour vérifier un éventuel phimosis); et l'appelé soit se recalottait soit restait décalotté. J'en conclus que Gérald doit donc être circoncis !
      Il y a quelques années, un docu TV sur le sujet permettait de s'en rendre compte (en l'occurrence, c'est les appelés qui se décalottaient sur la demande du toubib) ; on voyait bien tout, mais c'était un document ancien, de vingt ou trente ans avant (pas de risque donc qu'ils soient reconnus !...).

      Supprimer
    2. découvrir un phimosis à 18 20 ans..il est tant de le découvrir... le pauvre mec a dû souffrir si ça n'a pas été détecté vers 8 10 ans, comme çelà doit l'être...à condition que les parents s'en soit préoccupé, bien sûr

      Supprimer
    3. Quand j'ai fait mon service militaire, tous les jeunes appelés étaient nus devant le capitaine "tata" qui ne se gênait pas pour tripoter toutes les bites et les couilles Ca nous faisait rigoler et y en avait qui bandaient !

      Supprimer
  2. J'ai fait mon service militaire mais jamais fait une visite médicale à poil
    sylv1

    RépondreSupprimer
  3. mouais j'y crois pas à ton histoire Gérald..mais bon. en même temps j'ai pas fait l'armée

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je maintiens mon anecdote pour la visite d'incorpo mais j'avoue avoir un peu abusé pour la seconde partie : je ne suis allé consulté qu'une fois et j'ai répondu à la lettre à son invitation à me mettre à poil lancée à la blague ! il faut dire que j'avais été un des rares à ne pas me formaliser du premier examen et qu'il s'en souvenait...

      Supprimer
    2. t'envoi grave du reve là ♥

      Supprimer
  4. ...je n'ai pas fait l'armée. réformé. Donc je ne sais pas trop ce qu'il s 'y passe. mais j'ai fait mes " 3 jours ". j'ai fait ma visite médicale, mais en slip...et voilà. Rien d'autres. pas de palpations. que néni...
    bon en même temps à l'époque j'étais plus coincé qu'aujourd'hui lool

    RépondreSupprimer
  5. je confirme que sous les douches collectives tout le monde se mate, mais bon on se mate avec des yeux d'hétéros..faut juste faire gaffe à ne pas bander si tu as des tendances homos. Moi je faisais très attention, mais finalement je n'ai jamais eu d'érection.
    Mais c'est vrai que quand tu te retrouves sous les douches avec 8/10 mecs à poils, forcément tu vois 8/10 teubs.
    Et quelques fois, tu attends ton tour devant les douches avec d'autres mecs à poils...et là, c'est un festival de bites dans une ambiance très masculine.
    Et puis il y a ceux qui, dans la chambre mettent 3 plombes à s'habiller devant leur armoire tout en te parlant à poils...et là, tu vois la bite du mec bouger dans tous les sens à la vue de tout le monde. Tranquille. tout est normal.
    Si au début je reconnais que je ne me cachais pas plus que ça, je ne trainais pas non plus sous les douches et à poils dans la chambre...
    ..mais après quelques mois, la confiance me gagnant, je me suis laissé aller à me foutre plus facilement à poils dans la chambre devant les autres mecs qui me mataient, comme moi je les matais.
    Entres nous, je suis souvent aller me soulager dans les toilettes... ah ben oui faut savoir gérer ses émotions lol

    voilà un extrait de mon expérience...VinCent, tu voulais du rêve, en voilà..mais c'est pas du mytho. C'est du vécu 100%

    ..et j'en profite pour te dire MERCI VinCent pour ton blog unique en son genre
    Kiss

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. alors toi, MC13 tu envois du rêves. tu as réussi à me faire bander un max au fur et à mesure que je te lisais

      Supprimer
    2. très heureux de t'avoir fait bander :))

      Supprimer
    3. je confirme tu as envoyé du reve MC13
      je regrette de ne pas avoir fait l'armée

      Supprimer
    4. houlalala...ça donne envie de faire son armée..
      merci MC13 pour ton expérience :))))

      Supprimer
    5. p'tain sympa ton armée MC13

      Supprimer
    6. moi je bande grave

      Supprimer
    7. MC13, ça y est, tu es content de toi, tu as bien fantasmé à fond ? Tu écris bien, je l'admets, et tu m'aurais presque excité si je n'avais pas moi-même fait l'armée... Mais c'est pas grave, on te pardonne, car on a compris (tu le fais comprendre clairement) que tu es le roi de la branlette...
      En fait, ton vrai fantasme c'est la crainte d'une érection devant les potes. Moi je peux te dire qu'il arrivait que sous les douches (collectives) un mec se mette à bander. Mais nous, on n'était pas cons au point de se foutre de lui. Désolé de casser tes rêves, cher Marseillais, mais triquer c'est normal, c'est banal ! Aurais-tu un problème, un blocage à ce niveau-là ? Etre homo n'implique pas de bander à tout bout de champ ; ton problème apparemment ne se situe pas au niveau de ton orientation sexuelle ou de ton bas-ventre, mais dans ta tête ! Mais ça, c'est ton secret jalousement gardé...

      Supprimer
  6. Il serait bien de trouver librement des clips gay de visites medicales collectives masculines tout nu. C'est difficile à trouver, c'est dommage.

    EFFELE

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Si tu penses à des scènes de visites médicales à poil extraites de films gay, pourquoi pas ? C'est toujours sympa à mater, et les mecs en question savent au moins à quoi s'en tenir... Mais si tu recherches des clips ou des photos de visites médicales véridiques avec nudité, c'est susceptible de poser problème, ne crois-tu pas ? On en trouve sur Internet, tu le sais sans doute, mais je ne pense pas que les appelés soient très heureux de se retrouver dans cette situation, livrés au voyeurisme de certains, même si ces documents sont déjà anciens. Mais peut-être souhaiterais-tu en outre connaître leurs noms et leurs lieux de résidence ?...

      Supprimer
  7. moi j'ai fait trois jours nu devant le médecin

    RépondreSupprimer
  8. Je suis homo. et à l'époque du SM, j'étais mal à l'aise avec ma sexualité et mon corps. Je confirme l'ambiance que MC13 décrit si bien. De cette confrontation, j'ai pris également de l'assurance (voire du plaisir) sans jamais dévoiler mon orientation sexuelle. Pour autant, la visite médicale a été stressante dans le sens où elle mettait à mal ma pudeur et surtout la crainte de dévoiler ma sexualité (érection). Le médecin de 50 ans, imposait tout au long de la visite la nudité intégrale et terminait l'examen par un contrôle consciencieux des parties génitales. Gros moment de solitude et la honte d'exhiber un pénis que le stress avait réduit considérablement… Au final, la peur de bander a laissé place à l'humiliation d'une virilité cassée et au complexe du vestiaire… De cette expérience est né alors le plaisir de la visite médicale où en l'espace de 25 mn, j'ai ressenti quantité de stimuli aussi bien fantasmant qu'anxiogène (Merci pour ce post). Aujourd'hui avec le recul et une forme de sagesse, je me rends compte combien la peur de soi est la première étape à braver pour aller vers les autres… Au final, l'armée m'a beaucoup apporté dans le sens où elle m'a fait grandir et prendre de l'assurance. Confession d'aujourd'hui qui à l'époque (déjà 30 ans) me paraissait impensable voire improbable. Amour et Tolérance. Bien à vous.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Analyse intéressante, Unknown. Mais c'est sans doute plus facile de faire ce constat aujourd'hui, avec notre expérience et notre vécu. Quand on a 20 ou 25 ans, on flippe vite ! Moi qui suis plutôt "grande gueule", je n'ai jamais eu la crainte d'une (semi-)érection ; quand cela a pu m'arriver, personne ne m'a fait de remarque, il valait mieux (car j'aurais pleinement assumé...).

      Supprimer
  9. A la visite médicale d’incorporation j’étais très stressé à l’idée de devoir me déshabiller il fallait se présenter devant le médecin nu j’ai eu beaucoup de mal à enlever mon slip mais j’y suis parvenu. Ensuite durant le service il y avait les vestiaires commun au début c’était très pénible mais rapidement la peur a fait place à l’excitation ...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tu avais beaucoup de mal à enlever ton slip, mec ? Eh bien, dis donc ! Moi, j'avais beaucoup de mal à traverser une rivière d'eau glacée, à dormir sous la tente à - 10 °C (j'étais en Allemagne de l'Ouest), ou encore à porter tout mon barda. Alors excuse-moi mon grand, mais avoir du mal à enlever un slip, ça me fait doucement rigoler !... Si tu es à Paris, comme moi, je te propose de se rencontrer, je vais te décoincer (j'espère tout de même que, les années passant, tu as réussi à surmonter cet obstacle insurmontable) !

      Supprimer
    2. Bonjour moi aussi j'ai fait le service militaire ( 22 mois ) et j'adore les ambiances entre mecs nus ; suis en région parisienne seb

      Supprimer
  10. je me suis toujours demandé pourquoi on devait montrer la plante des pieds et la paume des mains?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Montrer la plante des pieds, c'est pour que l'on détecte ceux qui ont les pieds plats (motif majeur pour être réformé). Quant à la paume des mains, je n'ai pas connu ça ; peut-être pour repérer ceux qui avaient un poil dans la main ?...

      Supprimer
  11. Salut, une visite médicale doit se passer à poil, à l’armée contrairement aux autres structures ils se fiche de la pudeur des recrues et en plus maintenant, c’est mixte.

    https://camp-bdsm.blogspot.com

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Rafrafi, franchement qu'est-ce que la pudeur a à voir dans ce cas ? Je veux bien que cela alimente des fantasmes, mais la nudité c'est naturel. Imagine-t-on une visite d'incorporation en tee-shirt, slip, jeans et baskets ? Au moins, l'examen complet permettait de se rendre compte des phimosis devant être traités. Aujourd'hui, l'hygiène a progressé, un jeune n'a plus besoin de la visite d'incorpo pour s'en rendre compte lui-même.
      En réalité, s'il y a un instant qui était redouté, c'était la mise à nu du gland ; en elle-même la nudité ne faisait pas peur (y compris des érections intempestives).

      Supprimer
    2. Comme je le disais un peu plus haut dans ce post, découvrir un phimosis à 18/20 ans, c'est un peu tard...il a dû souffrir le garçon. Les parents le détecte, pour leurs enfants, vers 7/8 ans... Quand à l'hygiène des jeunes, on a à faire actuellement à une génération qui se lave de moins en moins

      Supprimer
  12. J'ai rien à dire...

    RépondreSupprimer
  13. Quand c'est un médecin femme,je bande chaque fois et je ne suis pas un obsédé.En général elles manipulent le sexe de façon plus douce et pour presque toutes l'examen dure plus longtemps, c'est la conscience professionnelle!!!

    RépondreSupprimer
  14. plusieurs fois on c'est trouvé à poil sans raison ...une simple visite, le toubib faisait attendre, dès qu'on était à plusieurs, ben il commençait les consultations, à la fin tous se trouvaient tout simplement tout nu....

    RépondreSupprimer
  15. Dans les récits il faut tenir compte de l'année.
    Moi je suis allé au centre de sélection en 1967 et je m'en souviens très bien car j'étais pudique et je redoutais beaucoup ce passage au centre de sélection, ayant entendu des récits de mon père sur son service militaire, on restait un jour et demi et on commençait le premier par différents tests, un film etc..

    le lendemain, on commençait par une douche obligatoire, j'avais déjà été choqué par l'ordre très bref d'un sous off d'une 40 d'années de se mettre à poil dans le vestiaire avant la salle de douches, on était une 50, soit une 50 de gars de 18 ans qui se retrouvaient dénudés et intimidés ( il n'y a plus de "grande gueules" à ce moment là, on devait se mettre en rangs par deux devant 3 sous off sur le côté qui nous reluquaient avec un sourire moqueur et il fallait se serrer ( plus tard j'apprendrais qu'on appelle cela à l'armée "la position bites au cul" et c'est bien ce à quoi ça correspondait car je sentais vraiment mon sexe toucher les fesses nues du gars devant et celle du gars derrière toucher les miennes puis on avait pris un savon dans un panier à l'entrée de la salle douche et on était rentré dans la salle pour s'installer en dessous d'un pommeau de douche au plafond sur 3 rangées, je n'étais pas allé vite et je m'étais retrouvé au 2ème rang et c'était une erreur car il fallait se savonner en suivant les instructions des sous off, le résultat c'est que quand il fallait se pencher pour se savonner, on se retrouvait le nez dans les fesses du gars devant, ce qui amusait beaucoup les sergents chefs qui n'en perdaient pas une miette par les deux entrées sans porte de chaque côté.

    Après on sortait un par un avec examen de face et de dos par le sergent qui était censé vérifier que tout le corps était mouillé, puis une claque bien sonore sur les fesses si c'était bon et on pouvait se rhabiller.

    Pas pour longtemps car après dans une autre partie du bâtiment on devait à nouveau se déshabiller à poil pour faite tout le circuit médical, plusieurs infirmiers et plusieurs médecins mais pas d'infirmières ni de doctoresses à l'époque, beaucoup d'attente cul nu dans le couloir entre chaque salle d'examen toujours sous le regard moqueur des sous off , une embarrassante prise d'urine car j'avais beaucoup de mal à uriner en public alignés avec 6 ou 8 gars devant des urinoirs muraux avec un sergent derrière à quelques mètres pour mater nos fesses dénudées et un infirmier de chaque côté qui vérifiait qu'il n'y avait pas de tricherie c.a.d d'échanges entre deux gars d'urine si l'un n'y arrivait pas, naturellement plus on mettait de temps, plus le sergent nous enguirlandait, et comme cela avait été mon cas, j'étais vraiment soulagé quand j'ai senti qu'un flot d'urines venait car autrement au bout d'un moment on partait mais le sergent prévenait qu'il faudrait revenir plus tard à la fin, et naturellement aussi quand j'étais passé devant le sergent, celui ci m'avait flanqué une bonne claque sur les fesses pour me rappeler que j'avais été trop lent ! si on voulait reculer pour y échapper c'était pire, un gars d'un autre groupe avant nous avait essayé de le faire et s'étais pris deux claques au lieu d'une !

    RépondreSupprimer
  16. suite et fin de cette première visite au centre de sélection en 1967

    A la fin on se retrouvait à 4 devant un médecin chef (assisté d'un appelé infirmier et d'un jeune aspirant qui était là pour apprendre la procédure à suivre) qui terminait le parcours médical par un examen des organes génitaux très complet, plus qu'en visite scolaire, et pourtant j'y avais eu droit avec la doctoresse tous les ans de la 6ème à la terminale. On commençait par des questions en public: est ce que j'étais vierge, réponse oui , et le médecin "ce n'est pas grave, tu as le temps ça viendra très vite", sinon ceux qui répondaient non avaient droit à "depuis quand et combien de partenaires" ? puis "est ce que tu te masturbes et avec quelle fréquence" ? tu dois ( le tutoiement tout au long du parcours était la règle ) me dire la vérité parce que je le verrai de toute façon( ! ) est ce que tu as déjà eu des maladies vénériennes ou des problèmes ? puis il commençait la vraie visite par un examen visuel puis manuel du pénis et ensuite décalottages plusieurs fois pour faire coulisser le gland, lever le pénis pour regarder en dessous, pincer le bout du prépuce, l'ouvrir et examiner le meat, vérifier que tout était propre comme il a dit, inspection des poils pubiens dans lesquels il passait ses doigts, puis il passait aux testicules, il vérifie qu'ils sont bien descendus et évalue leur volume, les palpe, les prend dans ses mains pour les faire rouler, vérifie la peau en dessous et de chaque côté, et le test inguinal habituel, il appuie avec ses doigts de chaque côté de l'aine pour ce fameux test, pas de surprise car c'était toujours pratiqué en visite scolaire, avec l'ordre de regarder sur le côté et de tousser pendant qu'il maintenait la pression de ses doigts sur la peau. Le tout avec des commentaires pour le jeune aspirant ( mais entendu par tout le monde à proximité, les 3 autres conscrits, et le sous off qui nous accompagnait ) comme si je n'étais pas là ou n'étais qu'un modèle anatomique.

    RépondreSupprimer
  17. dernière partie( c'était trop long !)Puis il m'avait fait marcher dans la salle vers le mur puis revenir sans doute pour vérifier l'équilibre, il m'avait ordonné près du mur de me pencher en avant et de toucher mes pieds avec mes mains laissant complètement visibles mes fesses et mes testicules qui pendouillaient par derrière, puis d'écarter plus les jambes.. et enfin de revenir vers lui.
    Et alors que je croyais que c'était fini, l'ordre de se tourner, et un premier examen debout de la colonne vertébrale avec ses doigts qui glissaient le long de la colonne jusqu'à la raie des fesses, une petite tape pour m'ordonner de me pencher et de toucher mes pieds, et le même examen de la colonne dans cette seconde position, il tapotait mon dos plusieurs fois et laissait à nouveau glisser ses doigts tout le long, il avait fait remarquer à l'aspirant venu tout près que j'avais une petite lordose sans gravité car je restais très souple ai niveau lombaire et dorsal,
    Puis à ma grande surprise il m'avait attrapé les fesses prises dans ses mains et les avait écartées pour un examen visuel de l'intérieur de la raie des fesses et de l'anus avec une petite torche électrique, avec des commentaires sur l'absence de poils pour l'aspirant invité à venir regarder de près, une question sur des hémorroides éventuels ou des rougeurs ou démangeaisons, réponse négative, puis il avait enlevé ses mains et m'avait ordonné de me relever et de serrer les fesses, là il me les avait pincées puis palpées avec ce commentaire à la cantonade " ce garçon manque de muscles, il est trop maigre, il a une petite lordose mais au moins il a une belle paire des fesses, bien rondes, fermes et douces à la fois, on y voit encore la marque des petits claques qu'il a reçues" et s'adressant enfin à moi ", désolé mon gars mais tu ne peux pas être réformé pour insuffisance de poids et lordose avec des fesses aussi plaisantes à regarder, sans parler de la belle sonorité quand on les claque, je vais proposer de t'ajourner puisque tu es sursitaire pour études et tu reviendra l'année prochaine pour le même examen, tu auras surement pris un peu de poids et ta lordose n'est pas grave " . Et il m'avait flanqué une dernière claque sur les fesses pour démontrer leur belle sonorité puis m'avais dit que c'était fini pour moi. Je m'étais écarté pour me mettre sur le côté et regarder l'examen du dernier gars qui n'avait pas encore été examiné car on ne pouvait sortir de la salle que tous les 4 en même temps.
    un souvenir très vif de cet examen médical au centre de sélection ( ce n'était que le premier de trois ), ça ne s'oublie pas et c'était le bon temps car j'étais jeune ...

    RépondreSupprimer
  18. à la visite d'incorporation , c'était aussi à poil pour plus d'une heure en groupe et celui qui dit qu'à l'infirmerie de la caserne il fallait quasiment toujours se mettre à poil a raison.
    le médecin militaire ne s'intéressait pas au motif de la visite ( un sergent nous avait dit que c'était pour décourager les tirs au flanc qui voulaient une dispense sans raison valable), c'était tout le monde à poil, on devait s'inscrire auprès de l'appelé infirmier puis rentrer dans un vestiaire et se déshabiller entièrement, une fois à poil on ressortait dans le couloir et on attendait devant la porte, on devait être 5 ou 6 tous les matins et le médecin nous faisait tous attendre à poil, un sergent venait prendre les noms et nous demandait pourquoi on venait avec un air soupçonneux et goguenard vu qu'on était à poil puis on rentrait un par un et les autres restaient nus alignés dans le couloir à attendre leur tour d'être examinés, mains le long du corps comme toujours à l'armée.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. MERCI MERCI Jean-René. Merci pour ce témoignage, pour cette expérience de vie, pour le partage de tes souvenirs. Rien de très gay et gai, je ressens quand même pas mal d'humiliation pas forcément consenti. Mais merci à toi pour avoir pris le temps de nous faire part de cette tranche de vie.

      Supprimer
  19. J’ai fait deux fois les 3 jours car sursitaire. La première fois, 18 ans, tests écrits le matin, repas cantine à midi, tout dans le même plateau sans assiette puis immédiatement après le repas nous avons été conduits aux douches.
    Tous à poils, une tablette avec notre dossier en main. Une vingtaine de gars emmenés par un capo qui restait habillé. Vêtements dans des sacs plastiques remis à un soldat qui les posait sur une étagère.
    Douches en ligne, séchage rapide puis direction labo où nous avons pissé dans un flacon en face à face avec un soldat qui trempait une bandelette dans notre urine.
    Puis attente dans les couloirs, debout, à poil.
    Y a d’autres groupes qui nous croisaient, toujours un soldat avec une vingtaine d’hommes à poils comme nous.
    Nous avançons et attente.
    Nous avançons à nouveau jusqu’à une grande salle. Y a une centaine de gars environ, nous sommes tous à poil sauf les militaires derrière leurs bureaux.
    C’est la chaîne. Nous passons un par un devant chaque bureau et y a parfois plusieurs gars qui passent en même temps à un poste, vision, pesée, taille, oreille où je retrouve un pote de fac de médecine, je suis à poil devant lui qui est en uniforme, nous parlons, j’ai pas de gêne, il m’enlève un bouchon dans une oreille puis le médecin, un autre pote. J’ai bien vu l’examen du gros avant moi, complet !: Il ecoute mon coeur’ mes poumons, me fais tousser pour les hernies, rigole un peu et me dit juste « allez on y va ». Il décalotte alors mon gland, l’inspecte, me palpe les couilles une par une, me demande de me tourner et me baisser en avant, écarter mes fesses avec mes mains , me fait tousser et plonge un doigt dans mon cul.
    « Retourne toi ! Bon, ça a été ? Pas trop terrible ? »
    « Oui, pas de souci »
    Il remplit la fiche .
    « Vas rejoindre le caporal la bas »
    Nous sommes presqu’au centre de la pièce.Nous allons attendre debout, nus longtemps. J’ai du passer déjà une heure dans la chaîne à attendre de poste en poste. Je suis complètement habitué à être à poil et voir les hommes à poils. Y a juste quand je vois un mec habillé que je me souviens que je suis nu ! Nous parlons entre nous, blagues, comparaisons, …
    Nous allons y aller.
    Et là nous passons devant un officier orienteur, 3 bureaux en ligne. Je me tiens debout à poil face à lui qui est assis derrière son bureau.
    Bizarrement je n’ai aucune gêne ! Je suis à poil debout devant un mec tranquillement assis sur son fauteuil derrière son bureau,, il me mate manifestement et je suis à l’aise !
    « Musclés ! Vous faites du ski ? »
    « Oui »
    Et la conversation part là dessus.
    Quand je le quitterai je serai chasseur alpin !
    Encore de l’attente et nous sommes ramenés par notre capo aux vestiaires.
    J’ai comme un regret de m’habiller. J’étais parfaitement à l’aise à poil.

    RépondreSupprimer